Le
PORTAGE
Prêt à partir?
Tu pars seul ou on y va ensemble? On ne se connaît pas ou on se connaît très peu? On n’a jamais portagé ensemble? Comment s’y prend-on? Comment penser à faire la route ensemble? Comment penser du « je » au « nous », ou encore à partir du « on », moins formel dans ce cas? La voie du portage invite à l’engagement, à la compréhension, au respect et à la prise en compte de l’intérêt de tout le monde.
Chaque section de cette page présente à la fois la progression d’un portage et la progression dans une démarche d’auto-éducation et de collaboration. Enfin, elle tend vers des relations fondées sur des bases solides.
Explore ci-dessous les différentes étapes qui se trouvent sur le chemin, un pas à la fois. Chaque image est cliquable et t’amène à une section qui répond à une question fréquente en collaboration allochtone et autochtone. La section est accompagnée de ressources. Les graphiques de la personne sur son chemin marquent la progression dans le portage.
« Cette action prend la forme d’un projet qui n’est pas uniquement le résultat, la destination : c’est aussi un voyage, un déplacement, un processus. Parfois même, le cheminement est plus important que le résultat, surtout dans les projets de développement culturel et social, puisqu’il contribue à l’épanouissement des individus et des communautés mobilisés. »
- Élisabeth Kaine, (2016), Le petit guide de la grande concertation : création et transmission culturelle par et avec les communautés
Un peu d’humour pour respirer
Tu constateras que chaque section est rehaussée d’une petite touche d’humour dans la présentation exagérée des scénarios des images. Le but est de symboliser l’importance de l’humour chez les Premiers Peuples et d’encourager la légèreté, la liberté de pouvoir rire de nos erreurs. L’humour sert aussi à créer un lien d’authenticité égalisateur ainsi qu’à renforcer les liens communautaires et la résilience nécessaires pour avancer à travers les obstacles.
Dans un parcours vers l’harmonisation relationnelle, ces qualités feront une grande différence. Pour en savoir plus, tu peux écouter ce balado dans lequel Isabelle Picard parle de l’effet de l’humour sur la rencontre allochtone-autochtone.